Fin de semaine de cul...

Le lundi, pour ceux qui me connaissent, c'est la journée de la montée de lait. Vous allez me dire, c'est mardi tu es en retard et je dirai quel fins observateurs vous êtes. Mais suite à une fin de semaine mouvementé, la force me manquait pour appuyé sur les touches de mon clavier. À la demande de personne je vous raconte quand même la fin de semaine.

Je prend congé vendredi après-midi afin d'éviter le cr?%$se de traffic se dirigeant dans les Laurentides le vendredi soir. J'avais décidé d'aller passer la fin de semaine chez le fraternel et sa petite famille question qu'il se rappelle de ce qu'à l'air mon visage. 1h30 de route fait en sorte que je n'y vais pas trop souvent.

Je suis accueuilli aussi bien qu'un témoin de Jéhovah un samedi matin 8h après un gros vendredi de brosse. Râlement, chialage et odeur douteuse flotte dans l'air. Et voilà je me suis embarqué dans la fin de semaine Laurentiennes de la gastro... La belle-soeur et les 2 neveux file tout croche et finnissent leur bataille contre cette bactérie mangeuse d'anus. Je me console en me disant que frérot sera d'humeur n'étant pas malade. Il était tellement d'humeur qu'il à décidé de travaillé toute la fin de semaine me crissant là dans cet univers d'Immodium et de Pepto-Bismol. Je décidasse de câlisser mon camp de très bonne heure dimanche question de faire semblant d'avoir une fin de semaine. Le restant de la journée est correct et je m'illusionne presque jusqu'à dire que ma fin de semaine s'est bien passée... Nuit de dimanche à lundi 2h30, réveil de moi-même avec de violentes crampes et petit goût bizarre en bouche, course vers le gouffre de porcelaine et "callage" d'orignal pour quelques minutes. La gastro Laurentienne m'à pognée l'écoeurante. Dormi toute la journée lundi donc même pas la force d'avoir de montée de lait, même que juste le mot "lait" provoquait un montée chez moi mais d'une autre nature.

Comble du malheur, ma môman voulait même pas venir me faire une soupe Lipton pour me remonter le moral, mère indigne prétextant l'heure et demie de route qui nous sépare. Quelle belle raison innocente, maudit que je fais pitié.

Le comble : Appel du fraternel ce soir me disant "T'es parti vite dimanche, viens nous voir plus souvent"... Moi de répondre "Fuck You".