Mon cerveau trouve pas de titre

Plusieurs gens ont déblatérés à gauche et à droite de mon « laisser aller » blogatorien. Certain ont mêmes dit à tort que ma nouvelle flamme serait Num ou Yano ou même les deux en même temps. Ne pas croire ces ouï-dire car notre relation n’est plus nouvelle depuis belle lurette. Fouet et bestialité s’entremêlent à qui mieux mieux depuis plus d’un an déjà entre nous.

Non, mon pas-làitude (état de ne pas être là pour ceux qui se le demandent) de la dernière semaine du moins, est en partie causée par un amalgame de virus méchants s’ayant agrippés à moi car je suis tellement désirable. Pus capable de fonctionner, j’ai manqué quelques jours de boulot et ça c’est plutôt rare. Je crois que c’était un mélange de grippe-méningite-mononucléose-lèpre-rubéole-cancer du sein. Bref la phrase que j’ai utilisée le plus fréquemment dans les derniers jours était : « J’pense que j’va mourir ». Je commence à peine à avoir le début d’une once d’espoir de m’en sortir.

Une autre chose que je voulais mettre au clair, la phrase « Mais tu es beau à l’intérieur »… Désolé mais j’ai côtoyé mon lot de mon intérieur dans la dernière semaine pis… en tout cas vous avez le droit d’être weird.

En terminant, oui j’avoue que mon détachement léger de mon et de vos espaces charmants (osti de têteux fini) est bien du au fait qu’une charmante demoiselle comble encore les moments que j’avais de libre et ceux qui comme par hasard le deviennent pour en profiter.

Elle m’enivre et j’ai toujours été contre les drunk post