À la recherche du coma éthylique

Mercredi dernier mon premier Yulblog. Ce fut bien agréable de rencontrer quelques comparses. Je ne m’étendrai pas sur la soirée, vous n’aviez qu’à y être. Je vais surement renouveler l’expérience en espérant que ma gêne se dissipera l’espace d’une soirée pour aborder et discuter avec plus de gens.

Je n’ai pris qu’un verre à cette soirée, l’abus d’alcool n’étant pas dans mes habitudes et aussi le fait que j’étais le chauffeur particulier d’une gentille désagréable qui elle s’est servie du siège chauffant de façon volontaire. Cependant, après une très courte nuit, je me suis réveillé avec un atroce mal de bloc digne des pires lendemains arrosés à souhait. J’ai rarement des maux de têtes, laissant cela aux dames, et lorsqu’ils se présentent ils ne durent jamais bien longtemps.

Par contre celui-ci à persisté toute la journée de jeudi, dans la nuit et même vendredi… En fin de journée je me demandais vraiment quoi faire pour le chasser. Alors je me suis dit qu’en ayant pas bu mercredi soir et m’étant levé souffrant jeudi matin, peut-être qu’a l’inverse, si je travaillais fort buvant mon chemin vers le point de non retour, ou plutôt du retour gastrique, je pourrais être mieux en me levant samedi matin ?

Avant même d’y avoir pensé, je reçois un e-mail de Pat qui dit
« Osti de semaine de cul, t’as de la téquilla chez vous ? »
Ma réponse :
« Non mais j’ai plein d’autressss chosessss »
Pat :
« M’en sacre, n’importe quoi qui fesse, boire pour oublier, c'est ma devise »

Alors il s’amène après le travail. Combattre le feu par le feu que je me dis, ça ne peut pas être pire que ça l’est présentement. Midori, Zambucca, PdB en shooter ont tenu lieu d’apéritif. Jusqu'à ce que le chevreuil sur la bouteille de Jagermeifter se mette à nous "caller". Nous avons du, par respect pour l’animal, l’achever; c'est-à-dire terminer la bouteille…

Ce matin en me levant, le mal de tête était toujours présent, ni plus fort, ni plus faible que la veille, mais toujours là. Alors combattre le feu par le feu, ça marche pas, j'aurai essayé. Un téléphone à Pat par contre me fait savoir que pour lui... Le partage, c’est important.

Et à cette heure tardive samedi soir le crâne semble encore sur le point de se fendre…